Blog du Service Culturel de
l'Ambassade de l'Équateur en France
ARTISTES VISUELS
Michelle Moscoso est née à Quito en 1992. À 22 ans elle est sur le point d’obtenir son diplôme en Design Graphique à l’Institut Métropolitain de Design à Quito. Artiste autodidacte et perspicace, son élan créateur et sa ténacité l’ont menée vers un parcours artistique. En 2010 elle a débuté sa carrière en peignant des toiles humaines à Silly Farm Supplies (USA) et en participant pour la première fois à la Convention Internationale de Face and Body Art (FABAIC) à Miami aux États-Unis. Depuis, elle assiste tous les ans à ce reconnu congrès mondial de Body Painting où elle perfectionne sa technique et son style. Dans le cadre de Evidencias numéro 28 à l'Ambassade de l'Équateur en France, elle exposera un an de son travail autour du thème de l'identité équatorienne, les paysages et la culture de l'Équateur.
Maura Oderay Black est née aux Iles Galápagos en 1973. Elle commence à s’intéresser à la photographie lorsqu’elle se promène avec ses parents dans les Andes de l’Équateur à la recherche de condors. La vie de Maura est liée au journalisme, la culture et les voyages. Son dernier projet de photographie, et sans doute un des plus importants, met en évidence la cohabitation des communautés Afroéquatorienne et Chachi dans zone qui fait partie de l'une des premières réserves écologiques de l'Équateur, Cotacachi Cayapas, réserve créé en 1968. Ces communautés vivent dans le respect de la nature, de leurs coutumes et traditions, qui ont été transmises oralement de génération en génération et actuellement dans les écoles bilingues.
José Carreño né à Guayaquil en 1947. Après avoir obtenu son baccalauréat, il entame des études d'art à l’Ecole Supérieure des Beaux Arts de Paris.
Il tient sa première exposition importante au Salon de Peinture Latino-Américaine de Braniff au Texas en 1965. Cet évènement marque le début de sa renommé. Installé à Paris à partir de 1976, il remporte en 1978 un prix-bourse du gouvernement français lors de l’exposition réalisée à l’aéroport d’Orly. Des expositions individuelles lui sont consacrées en Equateur par le Centre Civique de Guayaquil et l'Auberge des Arts Kingman de Quito.
En savoir plus sur son travail : vimeo.com/98248268
www.enciclopediadelecuador.com/temasOpt.php?Ind=390&Let=
Jaime Zapata est né à Quito en 1957. Après des études d’arts plastiques à l'Université Centrale de l'Equateur à Quito, il débute très jeune sa carrière en arts visuels et participe à des ateliers dirigés par Miguel Gayo au Pérou, Thomas Daskam au Chili, ou encore Carmen Silva en Equateur. Il s'installe à Paris en 1984, où il travaille depuis lors, et crée en 1998 son propre atelier à Quito. Sa raison de peindre : "Je me sens comme un orphelin. Je suis un orphelin, comme beaucoup d'autres, mais non pas de parents mais de références [...]. Peindre ne me permet pas de raconter mes souvenirs, mes voyages, mes amours et mes peines, mes rêves et mes fantasmes, mais plutôt d'inventer un monde disparu."
Musicien, performer, peintre
Cet artiste équatorien a développé un langage hybride qui combine la couleur, le son du corps et l’objet en tant qu'oeuvre d'art, avec un discours transdisciplinaire et conceptuel (destruction de l’œuvre, éphémère, minimalisme).
Miguel Arcos fait partie de collectifs comme la S.O.C.R.A. qui promeuvent l'art comme une approche vers le sens de la vie. Miguel est un artiste très actif dans le domaine associatif. Il est présent aussi bien dans la scène musicale et performative en France, et aussi en Italie et encore en Belgique.
Víctor ARTIEDA
Tout jeune, Victor Artieda s’exile à Paris dès 1972 où il ne tarde pas à enseigner la peinture et surtout la gravure au sein de son atelier Grafica puis à la très courue Académie Goetz-Daderian. En 1988, il crée la première revue d’art rédigée en quatre langues. C’est AAKN rebaptisée Idéart. Il est aussi l’auteur de recueils de poésies et de récits qu’il illustre lui-même. Artiste prolifique aujourd’hui installé près d’Avignon, Artieda est toujours professeur d’arts plastiques et anime, depuis 2010, sa propre artothèque, machine à partager les œuvres d’art.
Né à Toulouse en 1952, Bustamante est professeur à l’École des Beaux Arts de Paris depuis 1996. Autodidacte, assistant du photographe et cinéaste William Klein, il réalise dès 1977 des photographies en grand format qu’il intitule "Tableau". Il collabore avec Bernard Bazile sous le nom "BazileBustamante". Il expose dans le monde entier, représente la France à la 50e Biennale de Venise en 2003. En 2006, de grandes expositions lui ont été consacrées au Kunsthaus de Bregenz en Autriche et au musée de Saint-Étienne, suivies en 2007 de l’Horizon chimérique au musée de Strasbourg, autour des œuvres de Ed Ruscha et des siennes. Plusieurs retrospectives lui sont consacrées. Jean-Marc Bustamante dirige le festival d'Art contemporain de Toulouse.
Né en 1971 à Quito, Santiago Reyes a étudié aux Beaux-arts de Cergy, avant de se lancer dans la réalisation de performances, matière à réfléchir sur les liens entre danse et arts visuels. De Paris à Mexico, en passant par Berlin, Reyes provoque la rencontre et examine les contours d'un tissu social en perpetuel mouvement. Le corps sert de passage et la performance apporte une matière nouvelle pour continuer cet éternel chantier performatif. Après sa participation au Printemps de Septembre 2010 où il expose son installation sur le pont, ce dernier est retourné en Equateur pour deux nouveaux projets présentés en janvier 2011.
Source : Mehdi Brit pour la Revue Diapo
Hernan JARA
Né à Quito en 1936, Hernan Jara a le privilège d'apprendre auprès des maîtres Jaime Andrade et Sergio Guarderas, qui lui enseignent les secrets de leur art. Influencé par les monuments et les paysages de Paris, ses oeuvres laissent transparaitre un sentiment à la fois vibrant et diaphane. Son oeuvre, construite autour d'une recherche de la "symétrie-assymétrique", est composée de formes géométriques de base, auxquelles vient s'ajouter préférentiellement la ligne oblique structurante. C'est dans la palette utilisée, en dehors des périodes à tendance monochrome, que l'assemblage des couleurs révèle des réminiscences autochtones. Hernan JARA est président du groupe Art Construit International, membre du groupe Constructiviste à Paris et de Arte Struktura à Milan.
Née à Quito, Carolina Alphonso habite à Paris avec sa famille depuis 2006. Initiée très jeune à la peinture, elle fait ses études d'art à l'Académie des Beaux Arts Pietro Vanucci de Perugia, en Italie, à l'Université San Francisco de Quito et à New York, où elle obtient un master en Art. Elle réalise de nombreuses expositions dans des lieux prestigieux tels que la Maison de l'Amérique Latine de Monaco, le Palais des Nations Unies à Genève, l'UNESCO à Paris, le Musée d'Art Moderne de Cuenca, le Musée Municipal de Guayaquil, ou la Fondation Guayasamin à Quito. ses oeuvres sont présentées en salons et figurent aussi dans des expositions collectives réalisées à Prato, Venise, Sao Paulo, Miami, Florence, Panama, New York, Madrid, Montevideo, Quito... Ses oeuvres ont été choisies pour représenter l'Equateur à la Biennale de Venise de 2007.
Née à Quito, après des Etudes d'Arts à l'Université Centrale d'Equateur ainsi qu'à l'Institut Supérieur d'Art de la Havane, Cuba, elle poursuit ses études à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arts de Paris-Cergy, où elle obtient son DNSEP avec les félicitations du jury, avant de participer au programme post-diplôme de l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon. Depuis l'an 2000, Maria a pris part à diverses expositions collectives en France et à l'étranger, à Berlin et à Séoul. En 2005, en résonance avec la Biennale de Lyon, elle contribue à l'exposition "Rendez-vous 2005, la jeune création" à la Galerie de Terreaux.
Martha est née à Quito, en 1937. Kinésithérapeute et militante des droits de l'homme, elle est contrainte d'abandonner son pays et de demander l’asile politique au gouvernement français en tant que victime de persécution en 1996.
Elle s'installe à Paris en 2001 après la mort de son mari, où elle adhère, motivée par son activisme socialiste, à l’Association Petits Frères puis à la Maison pour un Développement Solidaire où elle se découvre des talents d’artiste. Elle commence alors à explorer les différentes formes d'expression artistique avant de se spécialiser en peinture et photographie. Elle réalise plusieurs expositions individuelles et collectives dans la ville de Paris.
Artiste, chercheur
César Portilla est né à Quito en 1967. Après un diplôme d'études supérieures à l’Université Centrale de l'Equateur avec spécialisation en peinture et gravure, César se rend en France, où il réalise un Master en Théorie et Pratique d'Art Contemporain à l’Université Paris VIII puis un Doctorat en Art, Sciences de l’Art et Esthétique.
Il réalise des expositions aux Etats-Unis, en France, en Allemagne...
Il a également été professeur dans diverses universités.
Artiste, anthropologue, environnementaliste
anagraceavilesmartinez@gmail.com
Ana-Grace Avilés Martinez possède un Master en Anthropologie, Analyse du discours et Recherche de phénomènes culturels et sociaux de l'Université Paris III - Sorbonne Nouvelle et une maitrise de Communication pour des projets de développement communautaire et Cinéma documentaire à l'Université Polythechnique Salesiana de Quito, reconnue par Paris III. Son oeuvre mêle anthropologie et peinture ; selon elle "l'art est une façon de créer son propre discours pour pouvoir le partager". C’est pour cela qu’elle agit en faveur de la protection environnementale par la peinture. Elle travaille ainsi sur plusieurs projets d'éducation environnementale par l'art et est membre du Mouvement Colibris et de la Fabric des Colibris à Rambouillet dans l'ouest de l'Ile-de-France.
www.linkedin.com/pub/carla-robalino-aguirre/31/69a/860
Carla Robalino Aguirre est née à Quito, mais habite à Paris depuis 1993, où elle enrichit sa culture en visitant musées et galeries. Elle entre en 1997 à l’Ecole Supérieure des Beaux Arts à la suite d'un concours très sélectif et a le privilège d’avoir comme professeurs des artistes contemporains tels que Jean-Marc Bustamante, Christian Boltansky et Jean-Michel Alberola. Elle est l'élève et la collaboratrice de Giuseppe Penone.
Elle vient d’Equateur et c’est une magicienne. Elle fait apparaître et disparaître le réel, elle vous ébahit et vous ne voyez rien. Elle joue avec les mirages, avec la disparition du réel, avec l’illusion des sens. Estefania est une artiste qui dévoile la vraie structure du réel, et qui engage physiquement le spectateur dans sa démarche. Née à Quito en 1978, Estefanía Peñafiel Loaiza est artiste plasticienne, elle vit et travaille à Paris. Son oeuvre aborde la tension entre le visible et l’invisible. Ses travaux font l’objet de manipulations simples d’appropriation et de subversion se traduisant par le biais d’actions de destruction ou de reconstruction des images et du langage. Cette dimension plastique n’exclut pas une position politique signifiante à travers des traces parfois imperceptibles.
Nedda Descalzi
Diplômée de l'Ecole du Louvre en Histoire de l’Art et Muséologie ainsi que titulaire d’une Maîtrise en Histoire de l’Art de la Sorbonne option Etude de la restauration de tableaux, c’est tout d’abord comme conférencière que Nedda Descalzi débute sa carrière. Passionnée par la restauration de tableau, elle décide ensuite de se lancer dans la peinture, un besoin pour pouvoir devenir restauratrice. C’est alors qu’elle fait au Louvre la connaissance de l’artiste Paul Mantes, grand peintre contemporain, prix de Rome, avec qui elle travaillera pendant 10 années au cours desquelles il lui transmettra son savoir et sa passion pour la copie. Nedda est désormais restauratrice de tableaux mais également copistes aux Musées d'Orsay et du Louvre. Elle continue également de donner des conférences sur l'art et le travail de restaurateur en France comme en Equateur.
Artiste peintre
Née à Ibarra, Equateur, elle quitte son pays d'origine pour l'Espagne où elle fait ses études universitaires dans l'éducation. Elle décide de s'installer à Paris en 2011. Autodidacte, elle prend néanmoins des cours de peinture pour développer son style et sa technique dans la peinture figurative et se concentre sur les portraits et différents types de scènes. Chacune de ses œuvres cherche à transmettre un message et dénonce, à sa façon, les injustices sociales. Ses oeuvres sont influencées par les impressionnistes, mais aussi par la peinture contemporaine.
Dessinatrice, peintre, photographe, artiste vidéo
Née à Guayaquil en 1971, elle entreprend des études d'art à l’Ecole des Beaux Arts de Quito avec une spécialisation en peinture et gravure. Diplomée en 1996, elle s'installe à Paris en 1998 afin de donner un nouvel élan et d'offrir une nouvelle lecture à ses oeuvres. Elle débute l'art vidéo en 2004 avec sa représentation "El aire del templo" à la Nuit Blanche de Paris. María Verónica León est à la recherche constante de nouveaux supports pour ses projections, comme autant de nouvelles façons de les percevoir, et de nouveaux genres artistiques. Elle crée ainsi sa premièe poésie vidéo en 2007, et son premier livre vidéo en 2009.
Ecrivain, peintre
Franss Conde Hinojosa est né à Quito, Equateur, en 1969, où il réalise l'ensemble de ses études. Après des études d'art à l'Université Centrale de l'Equateur, sa passion pour l'écriture et l'art le conduit dès 1988 à voyager en Allemagne, en Espagne et en France, en ne faisant que de courts séjours à Quito, sa ville natale. En peinture, son oeuvre se porte sur le figuratif, mais, par la déformation des corps, laisse imaginer au public sa propre vision des choses. Ses sources d'inspirations sont multiples et variées, sans qu'aucune ne prévale nettement sur les autres. En écriture, il publie un recueil de poèmes "Todo regresa al viento" et écrit dans diverses publications et revues de poésie.
Artiste, écrivain, professeur
Vanessa est née à Quito en 1982 et vit en France. « Son travail part du personnel et mêle son expérience personnelle, intime, et ses relations avec les questions fondamentales de la philosophie contemporaine comme le sentiment de sa propre existence et du désamour comme symptôme de l’interrogation pour l’absence de l’autre, pour la communication, pour l’environnement humain, sans aucun doute violent et cruel. Mais tout est relié depuis l’intérieur [..]. Des mots émanent une dimension auditive et visuelle, non pas à partir de mots intellectualisés, rationnels, mais de mots poétiques où la parole et bien plus la voix revêtent la peau du sentiment, du signifiant » (Alfredo Breilh, 2007). Elle a publié les livres “Historias de trapos”, en 2008, “El soporte poético del cuerpo”, en 2013, ainsi que “Recorriendo el mundo con la alegría de los niños” cette même année.
Valeria León est née à Quito le 1er février 1992.
Attirée dès son enfance par l’art, et spécialement par le dessin et la peinture, elle suit des cours de cinéma et d'audiovisuel au lycée La Condamine de Quito avant de partir en France pour étudier le cinéma à l’Université Paris 8. Par la suite, voulant s’ouvrir sur d’autres arts, elle intègre l'École Supérieure des Beaux-arts de Toulouse.
Nicolás Morales Arregui grandit à Quito. Son éducation au Collège français de Quito La Condamine lui permet d’acquérir une profonde compréhension de la culture européenne, qu’il approfondit encore durant les sept ans passées en France, au cours desquelles il effectue des études d’Art Plastique et d’Histoire de l’Art Contemporain à Montpellier. Etabli à Barcelone, il se consacre pleinement à la peinture et réalise plusieurs expositions individuelles et collectives. Les couleurs vives et pures, les formes circulaires et la multitude des symboles cachés entre les traits de ses pinceaux et crayons rappellent clairement les cultures et les croyances précolombiennes. S'y mêlent également animaux, symboles et scènes du monde européen et américain, unissant ainsi les deux cultures sous un ciel de couleurs fortes et un trait précis.
Styliste, directeur artistique, professeur
Patricio Sarmiento possède un master de stylisme de l'Institut Français de la Mode (Paris) et un Bachelor of Fine Arts de stylisme de Parsons The New School for Design (New York). Il dessine pour des maisons de haute couture et de prêt-à-porter françaises et étrangères telles que Maurizio Galante, Louis Vuitton, Chiatzi Chang, Leonard, Donna Karan, ou Calvin klein. Il est aujourd'hui directeur artistique de "Hand in Hand", professeur et directeur artistique au Paris College of Art, aussi connu sous le nom de Parson Paris School of Art and Design, et professeur à l'Ecole de la Chambre Syndicale de la Couture Parisienne.
Cinéaste et réalisateur
Martin Donoso habite à Paris. Son domaine d'expertise inclut images de films, clips video et publicités commerciales. Après avoir travaillé chez Goyave Production, il travaille actuellement chez Dynamic-developer come cinéaste et réalisateur
Avec un formation en multimédia et communication audiovisuelle, Lisa se passionne pour l'image, le graphisme, la vidéo, la photo, les médias sociaux et la diversité culturelle. L'exposition universelle de 1998 au Portugal lui donne l'envie de rencontrer des gens d'origines diverses, d''échanger et de dépasser les barrières de la langue et les différences culturelles. Elle voyage en Équateur, au Royaume-Uni et en Australie dans l'objectif de s'imprégner du pays et d'être confrontée à une autre culture et à une autre forme de pensée. Elle participe à des projets artistiques au sein de collectifs autour des thèmes de la culture et des peuples, de la photographie et de la vidéo, du body-painting, des voyages... Lisa Mogrovejo est actuellement la secrétaire de Nicetopaintyou.
mariposa.delcastillo@wanadoo.fr
Artiste franco-équatorienne, Mariposa Del Castillo fait des études d'art en Equateur et en France. Ses tableaux, originellement consacrés aux nus féminins et masculins, laissent à partir de son expérience parisienne, transparaître la poésie des saisons et des mots. Les corps laissent la place à une sorte de silence intérieur rempli de touches blanches et transparentes.
Jimmi Mendoza
Né à Guayaquil en 1972, Jimmi Mendoza est un artiste dont l’œuvre s’inscrit dans la tradition de l’art figuratif. Ses tableaux, réalisés au stylobille, explorent en détail ce que l’on pourrait désigner comme « le devenir de la forme ». Les pixels deviennent ces traits obsessifs et insistants qui s’unissent progressivement pour finalement révéler ces personnages qui empruntent à la fois à la caricature, et, dans une certaine mesure, à la renaissance.