top of page

 Lectures recommandées

En la Historia de la literatura ecuatoriana hay varios contactos notables que permiten establecer la riqueza de este diálogo que, sin embargo, no se declina en suficientes publicaciones que den fe de ello.

 

 Que sea en el territorio de las confluencias (el modernismo latinoamericano, el surrealismo francés; el realismo social en el Ecuador, los movimientos sociales (Jaurés a la cabeza) en Francia) o en el de los viajeros (las dos misiones científicas francesas en Ecuador: la de Goudin y la de Paul Rivet), la literatura ecuatoriana está cruzada por la relación de algunos escritores nacionales con Francia.

 

Entre los más notables, Juan Montalvo, Alfredo Gangotena, Jorge Carrera Andrade y Jorge Enrique Adoum hicieron de este país, y especialmente de París, su referente personal y literario.

 

Entre la Embajada del Ecuador en Francia y la Casa de los Escritores Extranjeros y Traductores (MEET, por sus siglas en francés) desde el 2011 se ha establecido un espacio de cooperación fundamental para favorecer la promoción y la difusión de la literatura ecuatoriana en Francia. De hecho, se publicó en 2012 el libro Quito/Dublín, que contiene textos de una decena de escritores nacionales, que dialogan con los textos de varios autores irlandeses, todo esto en español, francés e inglés. Así mismo, los autores Mario Campaña, Edwin Madrid y César Vásconez han sido beneficiarios de una beca de residencia en la MEET, en Saint Nazaire. De esas residencias se están publicando libros de estos autores, debidamente traducidos al francés.

 

En 2012, así mismo, por primera vez el Ecuador participó en el Salón del Libro de París, en presencia de los autores Javier Vásconez y Jorge Dávila, invitados ex profeso para presentar sus obras en esta capital; en el 2013, Jennie Carrasco y Ramiro Oviedo acudieron al Festival CoLibris, de la Asociación la Marelle, en Marsella, donde se presentó la Antología de Escritoras Indígenas, que incluye textos de XX. Es importante señalar que algunos autores ecuatorianos presentaron publicaciones recientes en Francia, algunas de ellas incluidas en editoriales prestigiosas como Gallimard y Flammarion.

 

En el ámbito teatral, en ocasión de la participación del Ecuador como país invitado en el Festival Translatines, en Biarritz-Bayonne, se tradujeron al francés en el 2013 dos piezas de teatro de autores ecuatorianos: de Gabriela Ponce, Entrada en pérdida, y de Carlos Gallegos, Barrio Caleidoscopio.

 

De la mano de la Secretaría Nacional del Migrante, la Embajada del Ecuador en Francia publicó la Antología de poesía Apartar lo blanco de la Luz (Séparer le blanc de la lumière), editada por los poetas Ramiro Oviedo y Augusto Rodríguez. Esta antología compone una mirada amplia y vasta, pero puntual, de la poesía ecuatoriana, concentrándose en aquellos autores nacidos a partir de 1970. La edición bilingüe la debemos al denuedo de los traductores Rémy Durand y Anne-Marie Durand-Kennet y Gabrielle Lécrivain.

Il y a dans l’histoire de la littérature équatorienne plusieurs contacts notables permettant d’affirmer la richesse de ce dialogue, malgré l’insuffisance des publications.

 

Que ce soit sur le terrain des convergences (le modernisme latino-américain, le surréalisme français, le réalisme social en Equateur, les mouvements sociaux dont Jaurès fut la tête en France) ou celui des voyageurs (ceux des missions scientifiques françaises en Equateur : celle de Goudin et celle de Paul Rivet), la littérature équatorienne est traversée par les relations qu’ont développé quelques auteurs nationaux avec la France.

 

Parmi les plus notables, Juan Montalvo, Alfredo Gangotena, Jorge Carrera Andrade et Jorge Enrique Adoum firent de ce pays, et particulièrement de Paris, leur référence personnelle et littéraire.

 

Entre l’Ambassade de l’Equateur en France et la Maison des Ecrivains Etrangers et des Traducteurs (MEET) s’est établi depuis 2011 un espace de coopération fondamental pour favoriser la promotion et la diffusion de la littérature équatorienne en France. De fait, fut publié en 2012 le livre Quito/Dublin, composé de textes d’une dizaine d’écrivains nationaux, dialoguant avec les textes d’auteurs irlandais, le tout en espagnol, français et anglais. Ainsi, les auteurs Mario Campaña, Edwin Madrid et César Vásconez ont bénéficié d’une bourse de résidence à la MEET, à Saint Nazaire.  De ces résidences ont été publiés des livres de ces auteurs, dument traduits en français.

 

En 2012, ainsi, l’Equateur participa pour la 1ère fois au Salon du Livre de Paris, en présence des auteurs Javier Vásconez et Jorge Dávila, invités ex professo pour présenter leurs œuvres dans la capitale ; en 2013, Jennie Carrasco et Ramiro Oviedo vinrent au festival CoLibris, de l’Association la Marelle, à Marseille, où fut présenté l’anthologie des Ecritures Indigènes, qui inclut des textes de XX. Il est important de signaler que certains auteurs équatoriens présentèrent des publications récentes en France, dont certaines dans des éditions prestigieuses telles que Gallimard et Flammarion.

 

Dans le domaine théâtral, à l’occasion de la participation de l’Equateur comme pays invité au Festival Translatines à Biarritz-Bayonne en 2013, furent traduit en français deux pièces de théâtre d’auteurs équatoriens : Entrada en pérdida de Gabriela Ponce, Barrio Caleidoscopio de Carlos Gallegos.

 

Sous le patronage du Secrétariat National du Migrant, l’Ambassade de l’Equateur en France publia l’anthologie de poésie Apartar lo blanco de la Luz (Séparer le blanc de la lumière), éditée par les poètes Ramiro Oviedo et Augusto Rodríguez. Cette anthologie offre un regard ample et vaste, mais ponctuel, de la poésie équatorienne, se concentrant sur les auteurs nés à partir de 1970. L’édition bilingue est due au dévouement des traducteurs Remy Durand, Anne-Marie Durand-Kennet et Gabrielle Lécrivain.  

Le livre flottant

de Leonardo Valencia

Un récit d’adolescence, un récit de voyage entre l’Amérique du Sud et l’Italie, un poème sur la mer, et une enquête littéraire…
Le Livre flottant nous amène sur les traces d’un auteur mystérieux entre Rome et Guayaquil, la ville équatorienne engloutie par une crue séculaire.
Tout le livre tourne autour d’Estuaire, le seul livre de cet auteur, livre qui domine la vie de tous ceux qui le lisent, mais dont la quasi totalité des exemplaires a, comme son auteur, disparu. Dans une ambiance mythique, dans une géographie bouleversée, les hommes plongent au fond des eaux à la recherche de leur propre passé et de leur identité.
Le texte progresse au fur et à mesure des fragments d’Estuaire, de listes insolites (listes de livres à jeter par la fenêtre, listes de livres détruits par le feu, liste des écrivains enfermés ou cachés, etc.) et de références à quelques figures tutélaires : Melville, Rilke, Larbaud, Char ou Bachelard.

Rocío Durán Barba

 

C'est un libre de Rocio Durán-Barba qui naît de l’idée de réaliser une rencontre culturelle entre l’Équateur et la France. Douze artistes-peintres équatoriens expriment le langage de leur terre dans leurs compositions. Douze poètes français écrivent des poèmes inspirés par l’art pictural des peintres équatoriens, perçu à travers le prisme de leur propre univers. Le résultat est un dialogue entre les deux pays. Des pages pleines de l’alchimie provenant de la fusion entre la poésie et la peinture.

Regards Croisés

Equateur

de Rocío Durán Barba

En 1929 paraissait le livre Ecuador d’Henri Michaux, qui offrait une vision lugubre de l’Équateur, pays « couleur d’ecchymoses ». Rocío Durán-Barba prend le sujet pour écrire un roman Équateur où prose et poésie s’entremêlent. Un roman aux allures d’enquête policière qui se place dans la tradition du réalisme magique latino-américain.

 

Une immigrante équatorienne vit l’impossibilité de retourner dans son pays qu’elle aime éperdument. Le journal de voyage de Michaux est tombé dans ses mains et s’est converti en une voix qui la persécute de son discours accablant. L’idée d’y remédier l’envahit. L’idée de rencontrer Michaux. Peu à peu elle perdra la raison…

 

Ce roman permet de découvrir l’Équateur : ses villes, communautés indigènes, légendes, traditions, coutumes…  Il n’est aucunement une charge contre Michaux. Il est seulement un étranger perdu dans l’univers andin, entre les habitants du printemps éternel de l’Équateur.

Le Cotopaxi divinités et

Chamanes

"C'est dur de mourir au printemps"

Auteur: Alfredo Noriega

Traduit de l'espagnol (Équateur) par Alyette Barbier

Un polar explosif au beau milieu des Andes.

 

Au petit matin, Eulalia, découvre la disparition de son jeune fils. Éperdue, elle se lance dans une course contre la montre durant laquelle le lecteur découvre Quito, une ville où la violence est quotidienne, Quito, personnage central de ce roman choral qui bat au rythme de vies qui s'entrechoquent.

 

Disponible sur: http://bit.ly/2tLik3T

La Route du Poisson

Ramiro Oviedo

 

 

 

 

 

 

La route du poisson est un album de cartes postales de l'auteur, du signe du poisson, inspirées pendant son séjour à Boulogne-sur-Mer.

 

Il doit son nom à une fête populaire de Boulogne qui tire ses origines du labeur ancestral des chevaux de trait depuis le Moyen Âge: amener le poisson frais du premier port de pêche de France vers les marchés de Paris en moins de 24 heures.

 

Mais ici on ne parle pas de cela. Ici on parle du vent qui fouille les tripes, des falaises qui blessent les yeux, des dunes, des manoirs, des bateaux, de la fête du hareng grillé, des centaines de mouettes boiteuses que la pluie rend hystériques (…)

 

Traducteur: Rémy Durand

La parole poétique d’Aleyda Quevedo Rojas coupe et cautérise tout en même temps. Elle blesse et guérit. Comme elle le dit elle-même dans "Le jardin des dagues" : ce sont des « armes délicates pour guérir ». Car être habité par la poésie implique qu’on se laisse brûler dans son propre feu, qu’on se condamne aux cendres qu’ensuite le vent emportera. Dans "le Jardin des dagues", Aleyda se Donne aux « couteaux de la poésie / pour me déchirer ». Parce que la poésie coupe, dérègle, perturbe. Et son désordre, son chaos, crée un nouveau cosmos, un ordre nouveau, une terrible beauté qui suture et blesse...

Le jardin des dagues

de Aleyda Quevedo Rojas

Recueil de poèmes 

"Ravins"

de Alexandre Ritter

Editions Les Presses Litéraires

"… « Une poésie que j’ai voulu définir comme une poésie cérébrale, en alléguant le nom de Paul Valéry, comme modèle idéal. Non point que le monde des sens soit absent, chez l’un comme chez l’autre. Mais celui d’Alexandre Ritter, est d’abord un Monde (je reviendrai sur ces majuscules parsemées dans la poésie), et non celui qui se présente, qui existe pour dialoguer avec le poète. Le monde transcrit ici se tient devant le poète, non à ses côtés : il est au sens strict objet/Gegenstand, monde ob-jectif, ou mieux objectal. Et c’est pourquoi il nous faut revenir vers une écriture de conquête et non d’accueil.  Une conquête par le mot, mais avant tout par l’idée, le débat d’idées, l’intuition, par un travail continu d’intellection. »  Daniel-Henri PAGEAUX Professeur émérite de la Sorbonne Nouvelle

Apartar lo blanco de la luz Livre Equatorien

Apartar lo blanco de la luz

Séparer le blanc de la lumière

de Ramiro Oviedo - Augusto Rodríguez

Edition SENAMI 2011

Intégralité du texte: bit.ly/1zuUoxQ

 

 

 

 

 

"Nous l’avons toujours dit, et maintenant il faut le répéter : l’esprit critique est l’oxygène de la révolution. Sans cet esprit on stagne. Sans tension, sans surprise, sans proposition, sans innovation, sans esprit de citoyenneté, la révolution ne pourrait que se faner. Voilà pourquoi l’action culturelle n’est pas nécéssaire, elle est indispensable. "

 

Traducteurs Rémy Durand, Anne-Marie Durand-Kennett et Lécrivain Gabrielle.

Texte en espagnol avec traduction en français.

Rocío Durán-Barba

Le Cotopaxi divinités et chamanes invite à un voyage magique et poétique inspiré par la culture du sacre et du chamanisme de l’Équateur. Le Cotopaxi, le volcan le plus actif au monde est entré en éruption et devient la scène où les divinités resurgissent et les chamanes célèbrent quelques  rites. Le  mystère en sort revivifié…

Quito/Dublin Revue Bilingue Revue equatorienne

Quito/Dublin

Revue bilingue n°16

Edité par la maison des écrivains étrangers et des traducteurs - MEET

 

"[...]Et puis de l'autre cote de la planete la litterature equatorienne, qui n'est pas en France la plus connue aujourd'hui des litteratures de l'Amerique latine. Et pourtant c'est la mission des Encyclopedistes de La Condamine, envoyée là-bas par l'Academie des sciences de Paris mesurer le globe terrestre, qui donnera son nom au pays et a la ville de Mitad del Mundo. [...]"

Patrick Deville, directeur artistique de la MEET.

 

Textes en bilingue

César Vásconez, Adolfo Macías, Huilo Ruales, Alexis Naranjo, Edwin Madrid, Gabriela Alemán, Ernesto Quiñonez, Efraín Jara, Leonardo Valencia, César Carrión, Ernesto Carrión, Juanjo Rodríguez, Salvador Izquierdo.

 

www.maisonecrivainsetrangers.com

Saint Nazaire - France

Mes années noires

Francisca Oyervide

Edition : Francisca Oyervide

Imprimé par Evidence

 

"L’écrivaine, née sur les hauts plateaux des Andes, partage des bribes de son vécu au travers de récits poignants. Elle raconte le courage et la solitude des femmes dans une société machiste, la difficulté des relations mère-fille, et emmène le lecteur au cœur d’histoires de générations, de famille, de violence, mais aussi et surtout d’amour. Mes années noires est un recueil de nouvelles écrit avec force, empreint de nostalgie, où l’espoir perce entre chaque ligne."

Cette peur qui les habite

Francisca Oyervide

Imprimé par Evidence

 

Dans ces contrées, les femmes naissent libres mais deviennent soumises dans leur famille et dans la société. Mariées, elles vivent en épouses dociles, obéissant à leur époux en les respectant. Des femmes candides et amoureuses, délicates et lucides, passionnées, attachantes, se livrent sans réserve, dans leur recherche obstinée du bonheur. Les hommes, quant à eux, les jugent « belles » lorsqu’elles les servent. Ils sont même persuades qu’elles sont épanouies, exactement dans leur rôle… Pourtant, elles vivent dans la peur de l’abandon et meurent trop souvent seules…

Vermeil

Alexandre Ritter

Edition : Les Presses littéraires

 

« Ce qui compte par-dessus tout dans la poésie d’Alexandre Ritter, ce ne sont pas tant les idées en soi, car la jeunesse de l’auteur manque encore de l’expérience nécessaire pour un exercice autonome de la pensée, mais plutôt son incroyable capacité à façonner en formes définies le flux émotionnel qui nous traverse… »
José Saramago - Prix Nobel de littérature.

 

Photos de la présentation du livre à la Maison de l'Amérique latine le 07/03/13

Microcuentos de escritores del Ecuador

Mini-contes d'écrivains de l'Equateur

Sélection de 18 auteurs

Edition

Fundación Rocío Durán Barba

 

"Le sélection de Mini-Contes d'écrivains de l'Equateur, réalisée par la Fondation Culturelle Rocío Durán-Barba - lors d'un concours convoqué en Equateur - a été choisi pour la traduction en francais par les ateliers de traduction 2012-2013 de la Maison Internationale de Poétes et d'Ecrivains de Saint-Malo (France)."

Mourir, la belle affaire 

 

ALFREDO NORIEGA 

Éditeur: Flammariont (2013)

 

Equateur, Quito, 2 850 mètres d'altitude. Arturo Fernandez, médecin légiste, subtil et mélancolique observateur, raconte l'histoire de Maria del Carmen. Seule rescapée d'un accident de voiture, elle a promis à l'inspecteur Heriberto Gonzaga de l'épouser s'il retrouvait les chauffards. Mais peu de temps après, la jeune fille se suicide. Arturo parle aussi de Paulina et de tous ces anonymes d'une cité ceinturée de montagnes et de volcans, fragilement bâtie sur des collines sillonnées de ravins. 
L'enquête de l'inspecteur avance pourtant et tous ces récits peu à peu s'entrecroisent, tissant le tableau d'une ville violente, indifférente, passive devant l'injustice sociale, le destin et l'acharnement de la nature. Un lieu où la mort est quotidienne et sans autres conséquences qu'intimes et tragiques pour ceux qu'elle frappe.

 

Pour le commander cliquez ici

 

 

 

 

El Libro de la enfermedad 

Le livre des fièvres    

Augusto Rodriguez

 

Augusto Rodríguez (Guayaquil, Ecuador, 1979) ha ido construyendo una poética de la enfermedad en torno a esta herencia: la pérdida del padre, la ciudad carcomida por la miseria, la infancia arrebatada, el sexo amenazado por la oscuridad y la vejez. Ha dejado claro que, con cada poema, con cada desenfreno en la escritura, está combatiendo. ¿Contra qué? Contra la apatía, contra el poder, contra el irremediable acto de la muerte que, de manera insólita e irreverente, él transforma en un acto de vida. Augusto Rodríguez ha sabido afinarse el corazón para cantarle a la muerte silenciosa y en ese concierto casi animal escuchamos a su padre irse de este mundo con miedo a cerrar los párpados. 

 

La poesía de Augusto Rodríguez está llena de pequeños fogonazos subversivos que tienen asidero en la ternura, la escatología, la imaginación desbordante. Su universo simbólico es el de un lector que ha penetrado con voracidad en otras escrituras y las ha hecho propias hasta el punto de comprender que “para los que sufren las palabras no existen, están viciadas”.

 

Sin embargo, en El libro de la enfermedad las palabras están aconteciendo, rotundas, encendidas.

 

Sciences sociales et Politique

Carnaval dans les Andes,

à la rencontre de Carlitos

de Hélène Grinberg

Editions Granvaux

http://fr.calameo.com/read/000619245f89dfb36cbe2

 

"Deux enfants vous font découvrir les rites du Carnaval dans une région peu connue de la Cordillère des Andes, en Equateur. Les indiens célèbrent chaque année la fête de Carlitos, un être imaginaire né de la rencontre entre les cultures de deux continents : l'Europe et l'Amérique du Sud."

 

Plus d'informations sur http://helenegrinberg.e-monsite.com/

Carnaval dans les Andes Livre sur l'Equateur

Caso OXY: Defense Jurídica de una decisión soberana y en derecho del Estado ecuatoriano

Diego Garcia Carrión

Edité par la Procuraduría general del Estado 

Ce livre fut présenté par Geneviève Bastid-Burdeau, Professeur de droit international public à l'Ecole de droit de la Sorbonne  en présence de Diego García Carrión, Auteur et Procureur général de l'Etat (représentant légal de l'Etat qui exerce la défense juridique de l'Etat devant toutes les juridictions nationales et internationales) le mardi 9 décembre 2014 au Centre Panthéon. 

Plan National pour le Bien Vivre 2013-2017

 

Edité par le Secretariat National de Planification et de Développement

 

Version résumée traduite en français

 

L'élaboration de ce Plan a été placée sous la direction du Senplades agissant également en qualité de Secrétariat Technique du Sytème National décentralisé de planification participative, conformément au Code Organique relatif à la planification et aux finances publiques. Il a été soumis par le Président Rafael Correa au Conseil National de Planification , aux fins et aux finances publiques. 

 

Le plan national pour le Bien-Vivre 2013-2017 est le troisième plan à niveau national. Il a été formé à partir de l'expérience des deux plans antérieurs. Il contient un ensemble de 12 objectifs qui exprime la volonté de continuer avec la transformation historique de l'Equateur. Le plan National pour le Bien-Vivre est destiné à être une référence en Amérique-Latine, la région est en train de voir  des résultats concrets dans la cas de l'Equateur.

 

Disponible en version numérique : www.buenvivir.gob.ec

 

 

Sobrevivir 

La huella nefasta de Texaco en el Ecuador

Juan Diego Pérez Arias

 

Publication qui témoigne des dommages environnementaux et sociaux provoqués par l’entreprise transnationale Chevron Texaco dans l’Amazonie équatorienne.

 

Ce livre fu présenté par le Ministre de l’Environnement, Daniel Ortega et de l'Ambassadrice de l'Équateur à l'ONU à Genève - Chef Négociatrice de la Délégation équatorienne auprès de la COP21, Madame María Fernanda Espinosa  à la Maison de l’Amérique Latine le 1er décembre 2015.

 

Photos de la présentation du livre

Construire l'homme nouveau en Équateur (1895-1925)

Le projet libéral au prisme des manuels scolaires d’instruction morale et civique 

 

Emmanuelle Sinardet

Les nouveaux manuels d´instruction morale et civique produits en Équateur durant la période libérale, de 1895 à 1925, accompagnent une révolution institutionnelle et pédagogique inédite : le régime libéral fonde une Instruction publique et laïque dans un pays où l’Église contrôlait jusqu’alors le système éducatif. Cet ouvrage montre que la révolution libérale entend créer une modernité politique reposant sur une révolution des mentalités, articulée autour de la laïcité. Il souligne aussi le rôle primordial de l’institution scolaire dans l’émergence d’une conscience nationale.

Les nouveaux manuels d’instruction morale et civique contribuent à façonner l’identité nationale, « l’équatorianité ». Ils construisent des référents identitaires communs, diffusent les mythes fondateurs de la nation et donnent à lire un roman national épique et glorieux. Ils doivent non seulement unir des populations jugées comme hétérogènes, car divisées par des particularismes régionaux et ethniques ; ils doivent aussi pacifier des comportements soumis aux passions politiques et religieuses. La Révolution libérale de 1895 veut faire advenir un homme nouveau : un citoyen équatorien responsable et autonome.

ÉQUATEUR : DE LA RÉPUBLIQUE BANANIÈRE À LA NON-RÉPUBLIQUE – Pourquoi la révolution citoyenne

Rafael Correa

Préface Edgar Morin

Editions Utopia

 

Dans ce livre, le leader de la Révolution Citoyenne décrit l'histoire économique de son pays et de "son continent" depuis la colonisation physique jusqu'à la colonistaion mentale et économique des trente dernières années. Comment une région si riche en talent humain et en ressources naturelles a-t-elle pu se retrouver dans un tel marasme? Rafael Correa analyse tous les obstacles qui se sont dressés sur le chemin de l'Equateur: l'échec des politiques de développement, la dett, le libre-échange, la crise financière économique, la dollarisation, la corruption des plus hauts fonctionnaires, des pression des institutions internationales...

 

"Les Galápagos, gouvernance et gestion démocratique des ressources naturelles"

Elena Ciccozzi

 

"Les Galápagos du XXIe siècle qu’Elena Ciccozzi nous présente constituent un “microcosme” politico-social qui, au delà de la vision traditionnelle du laboratoire scientifique vivant, incarne toutes les caractéristiques et les paradoxes inhérents à la gestion de l’action collective dans l’appropriation des ressources communes.

[...]

Elena Ciccozzi revendique donc  l’âme politique de la gouvernance des ressources naturelles, et met en avant des facteurs et des politiques qui facilitent une gestion des biens communs plus démocratique, inclusive et durable. Un tel modèle de gouvernance exige – aux Galápagos comme ailleurs – des politiques holistiques et des méthodes scientifiques interdisciplinaires dont « le politique » constitue l’une des variables fondamentales. C’est seulement ainsi que la science peut soutenir les décideurs à élaborer des politiques innovantes pour mieux arbitrer entre conservation et développement humain."

Livres touristiques sur l'Equateur

Bibliothèque du voyageur : Equateur

Edition : Guide Gallimard

 

"Trente-huit pages pour tout savoir sur les formalités, les transports, le logement, la culture, les loisirs, etc. en Equateur."

 

Nouvelle édition révisée en 2014

Lonely planet :

Equateur et les îles Galápagos

Edition : Lonely planet Publications

 

"Des plages du Pacifique à la jungle amazonienne, en passant par les routes vertigineuses de la Sierra, explorez le «Milieu du monde» et ses «Îles enchantées»."

 

 

Petit  Futé  : Equateur

Edition : Auzias & Associés

 

"En Equateur, un halo de mystère plane au dessus de ses cimes enneigées, nous laissant rêver notre voyage avant de le vivre pleinement."

 

 

La verdadera historia de Noé y el Gran Diluvio

Juan Esteban Guarderas Cisneros

Editions Alfar

 

Obra provocadora que nos muestra la verdadera historia de un Noé del siglo XXI, que representa y personifica al individuo, a la sociedad, al comportamiento del ser humano. Una misión, un ser humano... un Noé actual que no deja serlo.

 

Todo regresa al viento

Franss Conde

Imprimé par Navaprint Gráficas, S.L. Multilva Baja.

 

“Franss Conde Hinijosa publie son premier recueil de poèmes, Todo regresa al viento (Tout retourne au vent), et il le fait de manière intense et vraie ; sur l’amour, sur la perte, et sur la distance de celui qui est loin chez lui. Le voyage de l’auteur est traversé par la nostalgie et par la volonté de comprendre le mystère du pourquoi, du comment, du quand et du où. C’est pourquoi rien n’y est artificiel, c’est une poésie brutalement honnête qui dévoile des émotions entières sans aucun artifice.”  Eduardo Labeaga Emmanuel, Pamplona 2008

 

 

Contes pour Diego 

 

MARIPOSA DEL CASTILLO 

Edité par: edilivre.com 

 

Contraste des couleurs et des sentiments, trouble de l’amour et de la jalousie qui conduit au meurtre ou au sacrifice de soi, fantômes errants de nos rêves inaccomplis, de nos peurs du temps passé et de la réalité qui s’échappe. Ces récits nous racontent les pages douces-amères de la vie, entre des sommets équatoriens qui flirtent avec le ciel et des parfums macabres mais envoûtants de salles emplies de cadavres où un frère chéri étudie.

Dans ces contes soufflent des parfums d’espoirs et de drames, sans jamais tomber dans le pathos, comme s’il subsistait une énergie de vie, plus forte que le désespoir de la perte, de l’oubli ou de l’inaccessible..

bottom of page